Affaire Pegasus – Le Maroc, partenaire fiable et stratégique, défend son honneur face à un sabotage à grande échelle

Positions espagnoles et allemandes sur le Sahara Occidental, signatures de partenariats stratégiques avec Israël et l’Union Européenne, attractivité économique renforcée avec de nouveaux investissements industriels étrangers… le Maroc réaffirme, une nouvelle fois, son positionnement de partenaire régional fiable ; malgré la polémique de l’affaire « Pegasus », entérinée graduellement.

Alors que ses relations diplomatiques avec les pays de la région ainsi que l’Union Européenne se renforcent au fil des jours, le Royaume se positionne comme le partenaire économique et industriel le plus fiable de la région MENA. Proche géographiquement et culturellement, ce pays continue de renforcer son attractivité économique, son positionnement de leader et fin stratège auprès de l’ensemble de la communauté internationale.

Partenaire économique fiable, le Maroc continue d’attirer les investisseurs étrangers

Faisant une nouvelle fois exception et soulignant sa force industrielle, Rabat continue de multiplier les partenariats stratégiques. Le Maroc a récemment scellé un accord de coopération important avec Israël Aerospace Industries (IAI), le premier groupe aéronautique public israélien, afin de contribuer à promouvoir des projets communs et commerciaux dans l’industrie aéronautique. Ce partenariat structurant permettra la mise en place d’une coopération technologique, répondant ainsi aux priorités nationales du Maroc, en matière de formation, d’emploi, et d’innovation.

Ouvert économiquement et culturellement, le Maroc collabore avec d’autres industriels, européens et américains, notamment dans le secteur automobile. En effet, le gouvernement marocain a signé jeudi huit conventions d’investissement avec des équipementiers internationaux pour un montant global de 1,7 milliard de dirhams, soit 160 millions d’euros, permettant ainsi la création de près de 12 000 emplois directs. Grâce à sa politique fiscale et douanière incitative, le Maroc devient l’un des premiers acteurs industriels du bassin méditerranéen, avec l’implantation d’usines géantes, telles que celles des groupes Renault-Nissan et PSA.

Ces réussites économiques sont confrontées à des critiques continues sur les positions jugées liberticides du Royaume, précisément sur la liberté de la presse et le respect des droits humains. Des évènements illustrés notamment par l’affaire Pegasus, ayant longuement mobilisé l’espace médiatique, l’été dernier.

Victime d’une déstabilisation orchestrée, le Royaume du Maroc continue de défendre son honneur devant les juridictions françaises

M. Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères marocain condamnait, en juillet 2021, l’hostilité et le sabotage à grande échelle, dont faisaient preuve Amnesty International, Forbidden Stories ainsi que certains titres de la presse française, à l’encontre du Royaume du Maroc. Il appelait déjà aux preuves tangibles : « toute personne ou organisme portant des accusations contre le Maroc devra en produire la preuve devant la justice ».

Ce 25 mars 2022, le tribunal correctionnel de Paris confirme alors ce manque de preuves, et ce, malgré ses déclarations d’irrecevabilité des citations directes par le Maroc contre Le Monde, Radio France, France Media Monde, Mediapart, L’Humanité, Forbidden Stories et Amnesty International. En effet, ce jugement conforte le Maroc dans l’idée que Pegasus est une simple « supercherie médiatique ». 

Alors que les questions procédurales ont pleinement occupé le tribunal correctionnel, Me Olivier BARATELLI martèle que cette affaire doit pouvoir être « examinée sur le fond et la vérité être révélée ! ». Il affirme que « les services de l’État marocain n’ayant jamais acquis et utilisé le logiciel PEGASUS. Aucun élément de preuve contre l’État marocain n’a jamais été apporté dans ce dossier. Cette campagne de désinformation ne doit pas restée impunie. ». De ce fait, les avocats du Royaume du Maroc interjettent appel de cette décision, saisissant avec confiance la Cour d’appel de Paris pour réparer la vérité et préjudice subi.

Enfin et en dépit des attaques et polémiques que connaît le Royaume du Maroc, celui-ci continue d’être le bon partenaire stratégique pour l’Union Européenne ainsi que de ses voisins africains, avec qui les collaborations continuent de prendre forme.

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